Le 20 mars dernier, Amazon, l'un des leaders mondiaux du commerce électronique, a annoncé qu'elle allait se séparer de 9 000 employés. Quant à Meta, la maison mère de Facebook, elle a lancé une deuxième vague de licenciements massifs une semaine plus tôt, annonçant la suppression d'environ 18 000 emplois au cours des prochains mois. Si l'on cumule ces suppressions de postes, les deux entreprises passent devant Google, qui n'a pas encore fait de nouvelles annonces en la matière.
Selon les chiffres de Layoffs.fyi, un site web qui suit les suppressions d'emplois dans la Silicon Valley, plus de 183 800 personnes ont été licenciées dans le secteur de la technologie par 615 entreprises. Cette situation est liée à la pandémie de COVID-19, qui a entraîné une forte baisse de la demande dans certains secteurs.
Toutefois, toutes les entreprises ne sont pas touchées de la même manière. En effet, en dehors de la tech, le marché de l'emploi a continué de croître dans les loisirs et l'hôtellerie, l'administration, les professions libérales, les services aux entreprises et les soins de santé.
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Malgré ces suppressions de postes, certaines entreprises continuent d'embaucher pour renforcer leurs capacités dans des domaines en pleine expansion, tels que l'intelligence artificielle. C'est le cas de Microsoft, qui a récemment annoncé des plans d'embauche pour renforcer ses équipes dans ce domaine en plein essor.
En somme, si les licenciements massifs dans le secteur de la technologie font la une de l'actualité, il est important de noter que toutes les entreprises ne sont pas touchées de la même manière et que certaines continuent d'investir dans des domaines porteurs pour l'avenir.
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